Explosions in the Sky









Un review plus complète ici : http://musique.fluctuat.net/blog/14910-live-explosions-in-the-sky-a-paris.html Libellés : concerts
Amazone modern' style que le sculpteur, En anglais, surnomma Spirit of Ecstasy...









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The Soko's, rock adolescent qui parle beaucoup jeunes filles en pleurs, ex-boyfriends ou babycats, miaou miaou... la très jeune chanteuse possède un charisme certain et ce duo forme un petit couple plutôt collé-collé qui ne se quitte pas du regard... The Kills quinze ans avant?


Hafdis Huld, ex-chanteuse de Gus Gus, s'exprimant dans un anglais survitaminé avec force accent islandais, finit par imposer son drôle de charme par sa bonne humeur et ses sourires enjôleurs... Yukulélé rose sur chemise rayée bleue et blanche pour le backing-band, paillettes et boucles d'oreilles étoiles pour les filles. Ca minaude pas mal sur scène et c'est à la fois charmant et agaçant : un groupe de fille doit-il forcément en passer par là? Pas mal de fans dans le public, son album Dirty Paper Cup a été élu meilleur album islandais pop de l'année ! 





Et puis la révélation de la soirée : Au Revoir Simone. Trois drôles de demoiselles sorties d'un roman, cheveux longs, robes anciennes, longs bras blancs, regards sages et mutins. Premier morceau : on pense aux Beatles sur Bontempi. Montée en puissance. Ces trois-là s'amusent comme des folles. Voix angéliques. Ca danse dans le public, ça remue doucement. On y retournera, forcément.Libellés : sortir

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Encore un film sur l'Afrique, Le Dernier Roi d'Ecosse fait un peu penser à La Chute, ou comment essayer d'aborder un personnage monstrueux avec un autre regard... Amin Dada donc : Forest Whitaker presque sympathique au départ, complètement effrayant finalement... il incarne le dictateur avec une réelle puissance, dûe sans doute à sa carrure et à la conviction qu'il a dans son interprétation. On pourrait presque ne pas en vouloir au jeune docteur-voyageur-blanc-écossais qui, débarquant du monde occidental et avide de tout vivre, ne prend pas assez vite conscience de cette folie. Libellés : movies
Passage éclair au Petit Palais, "pour voir" un peu ce que ça donne après toutes ces années de rénovation... 
Une jolie salle sur la période impressionniste, Cézanne, Denis...
De belles pièces d'art ancien, allant des vases antiques grecs aux arts décoratifs du XXe siècle!
J'ai adoré ces peignes et broches ! On retrouve des motifs similaires dans les créations d'aujourd'hui un peu "retro", comme quoi...Libellés : sortir
Un rêve. Un fantasme. Une heure de lecture au milieu de la nuit. Une petite bulle d'air. Le regard qui s'attarde sur chaque trait, chaque mot. Un miracle. Deux personnes qui se rencontrent comme ça. Le discours des mouettes. Le chant des falaises. L'appel de la mer. Une échappée. Deux personnes qui quittent tout, qui partent pour la Toscane en train couchettes. L'ombre du père. L'ombre de la mère. La possibilité d'une renaissance ?Libellés : club lecture
Un film qui pénètre dans "l'intime" tout en racontant la vie en RDA au début des années 80. De très beaux acteurs. Une belle histoire sur fond d'intrigues idéologiques. Quelques longueurs parfois mais un propos toujours très sobre et jamais trop mélodramatique.
Dans un genre complètement différent, Blood Diamond confirme que Leonardo est un acteur brillant et à mon avis tout à fait crédible dans son rôle de mercenaire sud-africain. Les scènes d'actions sont impressionnantes, les paysages du Mozambique magnifiques (ça donne des envies d'échappées sauvages) et les acteurs tous très bons. Je m'imagine assez bien en Jennifer Connelly - reporter de terrain à hauts risques, même si je ne me rends pas vraiment compte de ce que ça implique en réalité.. (le danger permanent etc...)
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Vient ensuite O zlozony / O composite, de Trisha Brown. Ballet étrange magnifiquement servi par ses interprètes ce soir : Aurélie Dupont, Manuel Legris, Nicolas Leriche, le trio de rêve. Le décor est une voûte céleste, un infini d'étoiles. Les trois danseurs évoluent, tels des objets flottants, sur la musique de Laurie Anderson aux sonorités nordiques... On croirait voir la scène d'ouverture de 2001, l'Odyssée de l'Espace. Une découverte cosmique.
Après l'entracte un très cours ballet de William Forsythe (12 mn!), The Vertiginous Thrill of Exactitude, sur la musique de Schubert. Ballet-fusée pour cinq danseurs, à la fois représentatif du "style" de Forsythe (la rapidité, la virtuosité, la profusion de mouvements) et très classique dans sa forme. 

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